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Selon l’institut Copernicus, 12,9 mégatonnes de carbone ont été libérés dans l’atmosphère à cause des feux de forêts en Europe depuis le début de l’année 2025. C’est déjà un record absolu, loin devant les 11,4 mégatonnes atteint en 2003 et en 2017. Tout s’est joué au mois d’août selon l’institut : « Les émissions totales de la région, inférieures à la moyenne jusqu'au début août, ont radicalement changé en l'espace d'une semaine seulement ». Trois quart de ces émissions proviennent de la péninsule ibérique, particulièrement touchée par les incendies : 400 000 hectares sont partis en fumée en Espagne.
Et si ce bâtiment que vous voyez chaque jour vous ouvrait ses portes pour en découvrir l’intérieur ? Cette année encore, les samedi 20 et dimanche 21 septembre seront l’occasion de mieux connaître le patrimoine et le matrimoine (héritage culturel des femmes) qui nous entourent. De Strasbourg à Marmoutier en passant par Plobsheim, on vous propose cinq lieux et visites insolites dans le département ce week-end.
Chaque année, environ 1500 animaux de compagnie sont abandonnés au centre d’accueil associatif, totalement saturé. Ses bêtes sont mises sur une liste d’attente qui peut durer des mois.
12.9 mégatonnes de carbone émis à cause des feux de forêt
Les forêts qui brûlent, les températures qui montent, l’eau qui se fait rare. Avec le dérèglement climatique d’origine humaine, ces phénomènes sont plus fréquents et plus violents. Et ils ont frappé durement l’Europe en cet été 2025.
Canicule, feux de forêts, sécheresse… le continent européen a subi les conséquences du dérèglement climatique de plein fouet. Retour sur trois chiffres qui révèlent l’ampleur de la catastrophe.
Êtes-vous déjà rentré dans une mine de fer ou un temple franc-maçon ? Les 20 et 21 septembre 2025, c’est l’occasion de redécouvrir le Bas-Rhin pour les journées du patrimoine.
Cependant, il est très facile de contourner ce document en l’antidatant. « La notion de traumatisme pour l’animal n’est pas prise en compte. Il ne comprend pas ce qu’il se passe. Il ne sait pas qu’il est abandonné, il se retrouve dans une cage, avec du bruit, sur du béton. »
Les coussinets de Polochon foulent le même béton depuis plus de trois ans. « Et alors Polo ! », s’exclame Catherine en le retrouvant. Le gros pépère se dandine vers elle, la queue remue tellement qu’elle pourrait s’envoler. Ce Patou de six ans porte bien son nom, on a envie de se blottir contre lui. A peine la salariée s’en va qu’il se laisse tomber par terre, en attendant la prochaine interaction.
Arlette Berthon est bénévole dans le centre depuis 11 ans, elle promène des chiens deux fois par semaine. Sa mission « leur faire des câlins, rassurer, redonner confiance en l’être humain. » Si elle aime ces canidés, elle se désole de voir toutes les cages remplies : si [les propriétaires] savaient à quel point ils souffrent d’être ici, ça les ferait changer d’avis. »
Et parfois, ils le font. Le bon côté avec la liste d’attente, c’est que par définition, elle laisse du temps. Dans plus de la moitié des cas, les propriétaires des animaux en liste d’attente trouvent un moyen de faire les faire adopter avant que ce soit leur tour. Dans le meilleur des cas, l’attente est si longue qu’ils décident finalement de le garder. Il y a peu de temps, le SPA de Strasbourg a reçu un email d’une propriétaire. Six ans plus tôt, elle a voulu abandonner son chien. La liste d’attente et le suivi des salariés l’ont fait renoncer. Quand son compère canin est décédé, elle a écrit à la SPA pour les remercier et exprimer le bonheur qu’elle avait eu de vivre avec lui jusqu’à ses derniers jours.
Quentin Baraja
Édité par Camille Carvalho