AGENDA
Samedi 19 octobre 2013
- Vernissage de l'exposition de Freako Rodriguez, un artiste tatoueur installé à Strasbourg depuis quatre mois. Entre 9h et 18h, La Maison Bleue, 3 rue de Guebwiller. L'exposition sera ouverte au public jusqu'au 1er novembre pendant les horaires d'ouverture de la Maison Bleue.
Dimanche 20 octobre 2013
- Marché aux puces pour les vêtements et les accessoires d'occasion : « Vide Dressing ». Entre 14h30 et 18h30, Espace 23, 23 rue du Lazaret.
Mercredi 23 octobre 2013
- Projection du film « Roms – premier peuple européen » de Tania Rakhmanova suivi d'un débat dans le cadre de la Semaine de l'égalité (du 14 au 26 octobre). À 20h, Médiathèque Neudorf, place du marché.
Infos pratiques
Mairies de quartier : Neudorf-Schluthfeld-Port du Rhin, 13, rue Migneret. Ouverte le mardi et jeudi de 10h à 12h. Neudorf-Musau, 40 rue de Wattwiller. Ouverte du mardi au samedi de 10h à 12h. 03 88 60 95 27 - Médiathèque/Artothèque : place du Marché. Ouverte mardi et mercredi de 10h à 12h et de 14h à 18h. Jeudi : 14h-18h. Vendredi : 10h-12h et 14h-19h. Samedi : 10h-13h et 14h-17h. 03 88 41 45 00
08 octobre 2013
La nouvelle plaque commémorative du bombardement de Neudorf ne plaît pas à tout le monde. Inaugurée le 6 septembre dernier par Roland Ries, elle remplace une précédente inscription sur la façade du Scala. Selon l'association « Pour Neudorf » et sa présidente Clarisse Siefert, de nombreux habitants du quartier se sont plaints de la disparition de cette ancienne plaque, posée en 2004.
L'objet du remplacement ? Une actualisation des chiffres concernant les victimes des bombardements qui ont précédé la libération de Strasbourg. Depuis presque dix ans, de nouveaux noms se sont rajoutés à la liste. Désormais on recense 226 victimes contre 214 en 2004.
Mais ce ne sont pas les nouveaux chiffres qui font réagir l'association « Pour Neudorf » au point d'envoyer un courrier de réclamation au maire de Strasbourg. Si elle précise qu'il est « bon que ce chiffre soit réactualisé en hommage à ces personnes », Clarisse Siefert demande à ce que l'ancienne plaque soit fixée à proximité de la nouvelle, et ce de manière urgente.
Deux plaques, sur un même lieu, qui commémore un même drame ? Plutôt étrange comme demande. Peut-être que la disparition des noms de Keller et Grossmann sur la nouvelle plaque (où aucun homme politique n'apparaît désormais) y est pour quelque chose. À quelques mois des municipales, le texte des plaques commémoratives semble soudain prendre une importance toute particulière.
Aurélien Lachaud