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La Serbie vit, en ce printemps 2025, un mouvement de contestation historique. Une révolte lancée par la jeunesse contre le régime autoritaire du président Aleksander Vučić, accusé de corruption. À l’origine de cette colère, l’effondrement du auvent de la gare de Novi Sad, la deuxième ville du pays, en novembre dernier. Un drame qui a causé la mort de 16 personnes. 
Depuis six mois, le mouvement ne faiblit pas. Sur les murs des universités occupées, dans les cortèges hebdomadaires, la jeunesse est en première ligne. Rejoints par des cadres, des ouvriers, des paysans, des vétérans, les jeunes demandent des mesures fortes contre les malversations. 

Pendant un mois, nos journalistes ont parcouru le pays afin de comprendre les raisons profondes de cette colère. En dormant dans les universités occupées, en marchant aux côtés d’étudiant·es partis convaincre les habitant·es des campagnes et en racontant la lutte contre la désinformation.
C’est un bras de fer entre le régime et une grande partie de la société serbe que les étudiant·es de la spécialisation télé du CUEJ vous racontent.

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Encadrement : Matthieu Mondoloni et Marion Paquet

Mixage : Jean-Christophe Galen

Directeur de publication : Cédric Pellen

Remerciements à la Fakultet za medije i komunikacije (FMK) de Belgrade

Printemps 2025. La Serbie vit un moment historique, des milliers de personnes descendent dans les rues. Une mobilisation sans précédent dans ce pays des Balkans de six millions d'habitant·es. 

Ce mouvement de contestation contre le gouvernement d’Aleksandar Vučić naît d’un drame. Le 1er novembre 2024, 16 personnes trouvent la mort dans l’effondrement de l’auvent de la gare de Novi Sad.

Dans la rue, générations et opinions politiques diverses s’unissent autour des mêmes revendications. En tête de cortège, des étudiant·es, poumons de la révolte. Sur leurs pancartes, une main ensanglantée. Et un message : « Korupcija Ubija », « la corruption tue ». 

Pour prendre le pouls de ce mouvement social, les étudiant·es du Centre universitaire d'enseignement du journalisme (Cuej) de Strasbourg et de la Fakultet za medije i komunikacije (FMK) de Belgrade vous proposent six reportages, six récits pour raconter et comprendre le cri du cœur d’une société qui tente de reprendre la main. 

 

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