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A l'occasion de la semaine nationale des personnes âgées et des retraités, le Centre communal d'action sociale et la Ville d'Illkirch-Graffenstaden ont invité la troupe Pourkoipâ à se produire sur la scène de la salle des fêtes. L'association joue d'habitude dans des maisons de retraites, des établissements scolaires ou des maisons d'arrêt. L'objectif: amener le théâtre à ceux qui n'y ont pas accès. Devant 80 personnes ce mardi, Sylvie, Pierrette et Christine ont interprété la pièce d'Eugène Durif "Ni Une, ni deux", qui fait la part belle à l'absurde. Retour en images sur une après-midi conviviale.
Tous les mercredis, les Pitchounettes de l’AS Musau, âgées de 4 à 8 ans, s’entraînent au football. Dans ce club situé à la frontière du Neudorf et du Neuhof, c’est dès le plus jeune âge que ces petites filles se dirigent, d’elles-mêmes, vers ce sport.
Vidéo tournée le mercredi 10 octobre au 40, rue de la Doller, Cité de l'Ill. (Les mamans ne souhaitaient pas que leur visage ou celui de leurs enfants soit visible.)
Emilie Sizarols et Melina Lang
Les soirées figurines de l'association Tisseurs d’étoiles ont lieu tous les mercredis soirs de 19h à 23h30, à la Maison des Jeux de Strasbourg, située au 38, route de Schirmeck. Pour participer, il faut être adhérent de l'association Tisseurs d'étoiles ou de la Maison des Jeux. Frais d'adhésion à la Maison des Jeux : 15 euros à l'année pour les adultes, 5 euros pour les enfants.
Robin, barbe rousse et cheveux longs, projette sa large silhouette au-dessus d'une table de Guild Ball, prêt à en découdre. Les adhérents de l'association les Tisseurs d'étoiles sont répartis sur six tables, où leurs guildes de chasseurs ou de pêcheurs s’affrontent, accompagnés de leurs plateaux de jeux, de cartes de personnages et de figurines peintes à la main. D'un mouvement de poignet, Grégory avance le plus grand de ses protégés, un cavalier fièrement assis sur un semblant de griffon. Pour le lot complet de figurines, il a dû débourser « environ 75 euros».
Au paradis des gamers à l'ancienne, à la Maison des Jeux de la Montagne Verte ce mercredi, du geek à perte de vue. Mais loin du cliché de l'adolescent boutonneux, on croise plutôt des chemises bien repassées, des visages de trentenaires, quelques beaux gosses, des tatouages... ou une robe noire en dentelle. Seule femme présente ce soir-là, Sandie, 29 ans se prend la tête entre les mains, face à un épineux problème stratégique. Elle reconnaît que « le côté geek de ce genre d’événements a tendance à rebuter la gent féminine ». Mais elle n'en a que faire, prise dans cette ambiance enfiévrée, où chacun n'a que 45 minutes pour avancer ses pions. Et peut-être l'emporter.
Mais gare à la concurrence. Parmi les joueurs présents ce mercredi, certains ont participé tout récemment au championnat du monde par équipe, à Varsovie en Pologne. Ils sont parvenus à se hisser à la septième place du classement, parmi 42 autres équipes. Pour Robin, le barbu, cela a été «une occasion unique de rencontrer les meilleurs joueurs mondiaux». Alors que la nuit tombe au-dehors et que la tension monte, ces considérations s'effacent. Ce soir, l'atmosphère est tout aussi épique, l'enjeu tout aussi important. A l'approche du coup de sifflet final, on ne joue plus.
Fin des travaux en 2020
Après l'ouverture des stations Port du Rhin et Kehl Bahnhof en avril 2017, la ligne D va accueillir d'ici novembre 2018 deux nouvelles stations côté allemand : Hochschule et Rathaus. A l'horizon 2020, les stations Citadelle et Starcoop ouvriront côté français. L'ouverture de ces stations correpondra à la fin de l'aménagement de ces deux projets.
Tifenn Clinkemaillié et Lucie Duboua-Lorsch
L'extension de la ligne D se poursuit. Deux nouvelles stations doivent ouvrir côté allemand d'ici novembre 2018, deux autres ouvriront côté français en 2020. Un an après sa mise en service, l'extension de la ligne D trouve-t-elle son public ?
Le centre socioculturel de la Montagne-Verte, propose chaque lundi et mercredi un cours de méditation pleine conscience, qui rassemble un groupe d'une petite dizaine de personnes. Nous avons tenté l'expérience. Verdict : il faudra plus d'une séance pour parvenir à se détendre.
Martin Greenacre et Emilie Sizarols
Chaque lundi et chaque mercredi, au centre socioculturel de la Montagne-Verte, atelier de méditation pleine conscience. Le lundi, de 12h30 à 13h30, au 305, route de Schirmeck. Le mercredi, de 12h30 à 13h30, au 10, rue d'Ostwald. Première séance gratuite, 120 euros l'année.