Vous êtes ici

Le module est validé, il peut être inséré dans un article pour être consulté par les internautes.

Etre aidé, ou aider les autres... Christian cherche ses marques pour sa première après-midi chez les Petits frères des pauvres.

Liliane a besoin de se changer les idées. Ici, elle peut parler de ses passions : le tricot et surtout, les livres.

L’association compte aujourd’hui 300 membres. Selon l’un d’eux, en cette année d’anniversaire, les adhésions auraient grimpé de 30%. De quoi assurer l’avenir d’une association bien partie pour continuer de durer.

Selon lui, les Robertsauviennes et Robertsauviens ne cachent pas leur engouement pour cette association de quartier et son journal, L’Écho de la Robertsau. Né en 1960, il s’agit à l’origine d’un bulletin trimestriel de quelques pages écrites en alsacien et en français. Aujourd’hui, ce magazine, en français, est tiré à 12 500 exemplaires. Il est distribué dans chacune des boîtes aux lettres de la Robertsau, et sait vivre avec son temps : un blog a été créé en 2012, relié à une page Facebook depuis 2016.

Françoise, 65 ans, a choisi l'accordéon lorsqu'elle a commencé la musique, il y a neuf ans. Malgré cette initiation tardive, elle n’a aucun problème à suivre. Quand Camille ne sait pas quand elle doit commencer à jouer, c'est même elle qui le lui explique. Les deux participantes étaient déjà là aux quatre premières sessions de l'année dernière, avant que celles-ci ne soient suspendues, faute de budget.

Avec Alain Ehles, elles ont lancé une pétition et l'ont relayée auprès des membres du Club de Seniors de Koenigshoffen — dont Camille fait partie. Elles ont aussi sensibilisé le public du concert de fin d'année de l'école de musique. Et décroché une heure d'atelier par semaine, qui a lieu le samedi matin depuis la rentrée. « Jouer ensemble, c'est incomparable. Il faut écouter les autres pour avoir le même tempo, pour que ça soit harmonieux », explique le professeur. Un bon complément aux cours particuliers qu'il donne au centre socioculturel à une quinzaine d'élèves.

Melina Lang

Originellement, elle avait voulu répondre à l’inaction des pouvoirs publics. Sa mission a depuis évolué. Devant l’extension de la zone d’activité du port aux pétroles voisin et la bétonisation des étendues autrefois maraîchères, l’Adir s’est constituée en groupe d’opposition à certains projets, mais sait aussi être force de proposition (tracé du tramway E, par exemple). Jacques Gratecos, le président de l’association depuis 2013, décrit l’Adir comme « réputée et écoutée car non-politisée. Elle va au fond des dossiers et donne un avis pesé ».

Il y a soixante ans, la Robertsau était dévastée par la grêle. C’est suite à cet orage que l’Association de défense des intérêts de la Robertsau (Adir) a été créée. 

L’Association de défense des intérêts de la Robertsau (Adir) a fêté ses 60 ans, ce samedi 13 octobre. Les bougies ont été soufflées à l’espace Apollonia, où se tenait une petite exposition sur l’histoire de l'association.

« Les clients sont étonnés qu’il reste encore du pain à midi », raconte Valérie, vendeuse au Délice à l’ancienne, sur le trottoir d’en face. Si les conséquences ne sont pas aussi dramatiques pour la boulangerie, l’inquiétude s’est installée.

Pour la boulangère, les clients du Match profitent de l’ouverture le dimanche pour y faire leurs courses et acheter leur pain. La CGT du Bas-Rhin a également fait ce constat à la sortie du supermarché. Dans les chariots, pas de gros ravitaillements, mais surtout des achats de dernière minute : baguette, lait, beurre, crème.

Une catastrophe pour les commerces de proximité, comme La Pyramide, qui réalisaient leurs meilleurs chiffres d’affaires sur cette plage horaire. En dehors du Match, six autres boulangeries et supérettes ouvrent le dimanche matin.

Pages