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Biodiversité : ça déménage au bois de Bussière

19 novembre 2021

Biodiversité : ça déménage au bois de Bussière

 

Depuis mai dernier, le bois de Bussière s’est invité au cœur des contestations locales à la Robertsau. Vendue au promoteur Nexity, la ...

C’est un château, un stade, une rue... et surtout une femme. Mélanie de Pourtalès a marqué l’histoire de Strasbourg mais reste méconnue. Tout comme Anne-Marie Fritscher, autre oubliée de la Robertsau.

Depuis juillet 2021, l’association mène un nouveau projet intitulé “La vie à la Robertsau durant la Seconde Guerre mondiale”. Les bénévoles recueillent les témoignages d’habitants concernant l’exode, les Malgré-nous ou les formes de résistance. La Ville se dit prête à soutenir l’initiative.

ANTHONY JILLI & JOFFRAY VASSEUR

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Chantal Acker Marx fait chanter ses bols tibétains à l’aide d’un maillet pour permettre à ses clients de lâcher prise lors des massages. ©Théo Renault

La répartition des audioprothésistes à la Robertsau

©Jules Beaucamp et Julien Rossignol 

Soigner les aînés à domicile

19 novembre 2021

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Faire front contre les addictions

19 novembre 2021

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En tant que quartier prioritaire de la ville de Strasbourg, la Cité de l’Ill, située à la Robertsau, fait l’objet d’une attention particulière dans l’accompagnement de ...

Jules Beaucamp et Julien Rossignol

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Directeur de l’Ehpad, Christian Lutz a dû intervenir pour convaincre les familles de ne pas ramener leurs proches au domicile. ©Charlotte Thïede

Aucune plaque ni enseigne ne distingue la maison du 77, rue Mélanie de ses voisines. Ce n’est qu’une fois les escaliers menant vers le sous-sol descendus que le pavillon familial révèle un cabinet de naturopathe. Parquet, lambris jusqu’au plafond et cageots de bois faisant office d’étagères, la salle de soins évoque un chalet où trône une table de massage. Sous une lumière tamisée, deux fauteuils rouges capitonnés se font face au fond de la pièce: c’est confortablement assis que débutent toutes les séances.

 “Je passe énormément de temps à écouter les gens”, déclare Chantal Acker Marx, souriante. Pendant treize ans, elle s’occupait de planifier des voyages d’affaires pour le compte d’American Express. En 2013, elle quitte l’entreprise dans le cadre d’un plan de départ volontaire. Elle imagine d’abord une reconversion en tant qu’auxiliaire de puériculture. Réalisant que le métier ne correspond pas à sa vision du soin, elle commence une formation de naturopathe à l’école Plantasanté en 2018. “Ce que je fais maintenant, pour moi, ça a du sens”, confie celle pour qui le naturopathe est un “éducateur de santé”. Son rôle consiste à redonner les bases du bien-être grâce à l’alimentation, la gestion des émotions ou l’activité physique. La thérapeute explique avoir une préférence pour les techniques du toucher comme la réflexologie, le magnétisme ou la massothérapie.

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