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Après l’exposition à Pointe-à-Pitre d’un tableau sur lequel le président de la République est peint avec la tête coupée, celui-ci a annoncé porter plainte. L’engagement d’une procédure judiciaire soulève des questions sur la liberté d’expression et le seuil de tolérance des puissants.

Dans l’Eurométropole de Strasbourg, musique et bonne humeur sont à l'honneur sur le campus universitaire d'Illkirch-Graffenstaden, ce jeudi 6 février, grâce au groupe de fanfare Splash Brass Band. Un événement important pour la vie étudiante strasbourgeoise, que certains attendent avec impatience.

Le festival de fanfares Fanfar’o’doï, né il y a 18 ans à Strasbourg, se déroulera tout le week-end. Samedi, pas moins de 140 fanfaristes clôtureront le festival.

En 2023, Decathlon possédait 1 751 magasins dans le monde, dont 325 en France. Photo Emilius 123

Jeudi 6 février, pour le premier jour du festival Fanfar’o’doï, le groupe Splash Brass Band s’est arrêté sur le campus universitaire d’Illkirch-Graffenstaden. Pendant deux jours, huit autres fanfares, venues de toute la France, vont faire danser Strasbourg.

Le festival Fanfar’o’doï, crée par l'association Pelpass & Cie, existe depuis 2006. Photo Cuej.info / Angellina Thieblemont

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D’après Addictions France, 79% des 15-21 ans déclarent une exposition à la publicité pour de l’alcool via internet de façon hebdomadaire ou quotidienne. Photo Freepik

Interdire “toute publicité et toute propagande” autour de l’alcool sur les réseaux sociaux, “espace d’exposition extra massif des jeunes”, selon Stéphanie Pierre, chargée de plaidoyer pour France Assos Santé. Tel est l’objectif d’une proposition de loi présentée le 5 février à l’Assemblée par les députés Loïc Prud'homme (LFI) et Karine Lebon (GDR) et cosignée par 125 députés de neuf groupes différents dont le ministre de la santé Yannick Neuder.

Deuxième cause de mortalité en France

L’alcool est la deuxième cause de mortalité en France et est particulièrement toxique chez les jeunes. Le cerveau ne se développe complètement qu’à l'âge de 25 ans, “les consommations mêmes ponctuelles peuvent causer de gros troubles, particulièrement chez les jeunes. Le paradoxe, c’est que les derniers chiffres montrent que les jeunes boivent moins souvent, mais ils boivent plus et plus mal”, explique Stéphanie Pierre.

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