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Fleuron du continent asiatique dans les années 1950, la Birmanie est de retour sur la scène mondiale après plus d'un demi-siècle d'isolement sous le joug d'une dictature militaire. Le pays se libéralise, la société civile s'organise, la censure sur les médias a été levée, et la jeunesse a soif de changement. Fin 2015, les Birmans voteront pour les premières élections générales de l'après junte. De leur issue, dépend l'avenir de la démocratie birmane.

Reportages en textes, en sons, en images et en multimédia au cœur de Rangoun, capitale économique d'un pays en pleine mutation.

 

Le grand réveil

En 2011, les militaires desserrent leur main de fer sous le regard dubitatif de la communauté internationale. L'opposante historique Aung San Suu Kyi est élue au Parlement. Jeunes entrepreneurs, nouveaux médias, apprentis en politique participent au réveil d'un pays où la paix civile reste à construire

 

Voies birmanes

Les Birmans font l'apprentissage de la démocratie. Les changements sont visibles dans la vie quotidienne, mais les partis doivent préparer la relève, réinventer la démocratie locale et construire la paix, les journalistes apprendre un nouveau métier et le clergé bouddhiste trouver de nouvelles marques dans une société en pleine évolution.

 

Génération Rangoun

La jeunesse de Birmanie a soif. Soif d'apprendre et d'entreprendre, soif de liberté. A Rangoun, les 20-30 ans, grandis à la campagne ou formés à l'étranger viennent tenter leur chance, espérant s'inventer un autre avenir que celui de leurs parents. Engagés et impatients, inquiets et généreux, les jeunes se cherchent une place dans un pays qui s'ouvre tout juste au monde.

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