Chaque année, près de deux millions de personnes se blessent à la main. Pour elles, un
processus de reconstruction commence. Un parcours qui peut débuter par le passage dans l’un des 65
centres SOS mains, répartis dans toute la France. Les patients rencontrent alors plusieurs corps de
métiers : chirurgiens, ergothérapeutes, kinésithérapeutes, réunis pour reconstruire ces quelques
centimètres carrés
de corps meurtris.
Le docteur David Montoya-Faivre, de la clinique Rhéna de Strasbourg,
opère une fracture du poignet.
Photo Léo Limon / Cuej
Face aux entorses, fractures, coupures ou écrasements, les chirurgiens de la main
mobilisent un arsenal de techniques médicales. Parmi elles, la chirurgie vasculaire, osseuse ou
orthopédique. Du fait de sa complexité, la main est un membre qui requiert une grande polyvalence.
Épisode 1 : Passage au bloc
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Le docteur David Montoya-Faivre, de la clinique Rhéna de Strasbourg,
opère une fracture du poignet. Photo Léo Limon / Cuej
Face aux entorses, fractures, coupures ou écrasements, les chirurgiens de la
main mobilisent un arsenal de techniques chirurgicales. Parmi elles, la chirurgie vasculaire, osseuse ou
orthopédique. Du fait de sa complexité, la main est un membre qui requiert une grande polyvalence.
Épisode 1 : Passage au bloc
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Les orthèses et les attelles sont réalisées sur mesure et adaptées à la
morphologie des patients.Photo Léo Limon / Cuej
À la clinique Rhéna de Strasbourg, une équipe de trois ergothérapeutes se
consacre exclusivement à la fabrication et à la pose des orthèses et des attelles.
Fabriquées en plastique thermoformable, elles prennent la forme exacte du poignet ou de la main.
L’objectif : protéger et immobiliser pour laisser aux os et aux tissus le temps de se reconstruire.
Épisode 2 : Consolider et protéger
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Les orthèses et les attelles sont réalisées sur mesure et adaptées à la
morphologie des patients. Photo Léo Limon / Cuej
À la clinique Rhéna de Strasbourg, une équipe de trois ergothérapeutes
se consacre exclusivement à la fabrication et à la pose des orthèses et des attelles.
Fabriquées en plastique thermoformable, elles prennent la forme exacte du poignet ou de la main.
L’objectif : protéger et immobiliser pour laisser aux os et aux tissus le temps de se reconstruire.
Épisode 2 : Consolider et protéger
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Le plateau canadien permet de travailler la rééducation des doigts.Photo Léo Limon / Cuej
Dernière étape de la réparation des mains : réapprendre les gestes du quotidien.
Musculation, travail des articulations et des tendons sont au menu des séances de kinésithérapie et de
rééducation. C’est aussi l’occasion d’un ultime accompagnement moral pour reprendre possession de son
corps et laisser la blessure derrière soi, pour de bon.
Épisode 3 : En rééducation
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Le plateau canadien permet de travailler la rééducation des doigts. Photo Léo Limon / Cuej
Dernière étape de la réparation des mains : réapprendre les gestes du
quotidien. Musculation, travail des articulations et des tendons sont au menu des séances de
kinésithérapie et de rééducation. C’est aussi l’occasion d’un ultime accompagnement moral pour reprendre
possession de son corps et laisser la blessure derrière soi, pour de bon.
