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Des brousses et débrouille

02 juin 2017

Des brousses et débrouille

Dans « Des brousses et débrouille », direction les campagnes malgaches. Sur les hauts plateaux, comme dans les plaines, quelques kilomètres se transforment en heures et l’accès aux soins et à l’éducation ...

Environnement : la surchauffe

02 juin 2017

Environnement : la surchauffe

Dans cinq ans ou dans dix ans, que restera-t-il de « la nature 5 étoiles » vantée par les promoteurs du tourisme à Madagascar ? La forêt primaire recule partout. La liste des espèces menacées ...

Génération 2000 : les désenchantés

02 juin 2017

Génération 2000 : les désenchantés

Selon les Nations Unies, 53% de la population malgache est composée de jeunes de moins de 20 ans… Les jeunes sont donc majoritaires, mais seule la frange issue de la catégorie la plus favorisée peut ...

La terre des ancêtres

02 juin 2017

La terre des ancêtres

Depuis une douzaine d’années, des hectares de terres agricoles, minières, touristiques ou habitables sont achetées par des groupes privés à Madagascar. Encouragées, voire orchestrées, par ...

Mines de rien

02 juin 2017

Mines de rien

L’économie informelle prend toute la place. Agriculture, industrie, services… C’est 75 % du PIB aujourd’hui. De la débrouille à la corruption, c’est autant d’argent qui ne rentre pas dans ...

Sous la terre rouge les graines de la relève

D’Antananarivo à la côte Ouest en passant par la brousse, des idées germent pour construire l’avenir de l’île. A Madagascar, plus de la moitié de la population a moins de 18 ans. Mais si tout semble possible, tout reste à construire. Dans notre première émission,  « Des brousses et débrouille », nous sommes partis à la découverte du monde rural, grenier de Madagascar, où la population s’organise pour pallier le manque d’infrastructures. Pour notre deuxième émission  « L’écho des ancêtres », nos reporters se sont plongés dans la culture du pays pour comprendre la manière dont les Malgaches s’approprient leur patrimoine. Enfin, notre troisième émission  « Travail à tout prix », nous a emmené dans un monde du travail dynamique, mais rongé par l’économie informelle et par le manque d’encadrement politique.

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