Dans « Des brousses et débrouille », direction les campagnes malgaches. Sur les hauts plateaux, comme dans les plaines, quelques kilomètres se transforment en heures et l’accès aux soins et à l’éducation devient un casse-tête. Pourtant, c’est dans ces campagnes que vit près de 80% de la population. La plupart sont agriculteurs et travaillent dans les rizières. Malgré cela, Madagascar est obligé d’importer du riz pour nourrir sa population. Une population encore largement marquée par le patriarcat.
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SIGNATURES :
Reportages : Juliette Buchez, Pierre-Antoine Lefort et Maxime Nauche avec l’aide de Valisoa Rakotoarisaona et Onona Rakotomano
Présentateur de l’émission : Jordan Muzyczka
Rédactrice en chef : Clotilde Brunet
Mixage : Jean-Christophe Galen
Photos : Alexis De Azevedo, Juliette Buchez, Guilhem Dubernet, Tahina Randriarimanana
Création d’emplois pour certains, mort de l’artisanat malgache pour les autres. Le pays est divisé face aux investissements chinois.
Les géants des centres d'appel s’installent sur l’île rouge. Problème, la formation des opérateurs ne suit pas.
Entre travail déclaré et informel, Tahina, fromager à l'âme de start-upper, et Jenny, entrepreneuse dans la restauration, font des paris pour développer l’économie de leur pays.
Morondava est réputée pour ses quantités de poisson. La ville côtière attire de nombreux pêcheurs, mais les ressources diminuent et les revenus aussi.
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SIGNATURES :
Reportages : Tatiana Geiselmann, Pierre-Antoine Lefort, Noémie Philippot, Theresa Steudel avec l’aide de Sala Rabarison, Baliaka Ramanantsoavina et Valintsoa Razafindratrimo
Présentatrice de l’émission : Mélanie Kuszelewicz
Rédactrice en chef : Clotilde Brunet
Mixage : Jean-Christophe Galen
Photos : Joris Bolomey, Noémie Philippot et Theresa Steudel
Le kabary, discours traditionnel malgache, était surtout réservé aux ainées. Depuis dix ans, les jeunes le redécouvrent et s’en saisissent.
Sur l’allée des baobabs, carte postale de Madagascar, il faut concilier protection du patrimoine naturel et vie quotidienne. L’ONG Fanamby mise sur la cogestion.