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Six des onze candidats à la mairie de Strasbourg ont diffusé leurs programmes électoraux, et l’écologie est un enjeu de campagne déterminant pour chacun d’entre eux. Une communication qui s’établit d’abord visuellement, à l’ouverture des dépliants.
Les pages présentant les mesures environnementales de Jeanne Barseghian (EELV-PCF), Catherine Trautmann (PS) et Alain Fontanel (LREM) verdissent. La socialiste et le marcheur déploient même des éléments iconographiques : dessins d’arbres et de parcs, photos de serres agricoles. Kevin Loquais (LFI-Génération.s) et Hombeline du Parc (RN) ont sobrement surligné d’une bande verte leurs principales mesures environnementales alors que Jean-Philippe Vetter (LR) boude cette couleur.
Un nuage de mots par candidats permet de visualiser les termes les plus utilisés dans leurs programmes. ⇩
Depuis le début de la construction du GCO, projet d'autouroute à l'ouest de Strasbourg auquel le village s'était violemment opposé, Kolbsheim se dit déçu de la politique. Les habitants se rendront quand même aux urnes le 15 mars.
À moins de quinze jours des élections, l’écologie est au cœur de la campagne municipale. Les candidats ont tous à en dire et les mots pour le dire en disent long sur leurs stratégies de communication : décryptage de leurs programmes.
À dix jours du premier tour, sept têtes de liste ont débattu sur le thème de la sécurité, de l'environnement et de la pauvreté dans la librairie Kléber. À grand renfort d'affirmations, parfois inexactes.