Une course hippique dure deux minutes. Deux petites minutes qui déterminent le sort d’un cheval : perdant ou gagnant. Mais avant de pouvoir accéder à l’hippodrome, il y a des années de préparation durant lesquelles jockeys, entraîneurs et cavaliers doivent faire des sacrifices au nom de leur passion. Une passion qui rime avec exigence et patience.
Par Arthur Jean, Juliette Jonas, Chi Phuong Nguyen et Léna Romanowicz
De l’élevage à la course, le monde hippique est un art. Lorsque l’ancien jockey Jess Parize entraîne ses chevaux à l’hippodrome de Wissembourg (Bas-Rhin), il mène ses cavaliers à la baguette.
© Léna Romanowicz et Juliette Jonas
Les apprentis se mettent en selle
La formation des futurs professionnels des courses hippiques commence dès le plus jeune âge. Sur le campus de l’Afasec (Association de formation et d’action sociale des écuries de course) à Chantilly (Oise), les élèves partagent leur temps entre les études et l’équitation.
© Arthur Jean et Chi Phuong Nguyen