Phase II study of sorafenib in patients with sunitinib-refractory metastatic renal cell cancer J Clin Oncol 2009 ; 27 (27) : 4469-4474 [cross-ref], Cliquez ici pour aller à la section Références, 32Escudier B., Roigas J., Gillessen S., Harmenberg U., Srinivas S., Mulder S.F., et al. Les critères de sélections du traitement médical du cancer du rein métastatique chez les patients âgés sont le score IMDC nécessairement complété par le performance status , le profil de tolérance du traitement, les interactions médicamenteuses plus fréquentes, l’observance du traitement, la capacité de gestion de ses effets secondaires et la préférence des patients. 1- Motzer RJ, Tannir NM, McDermott DF et al. Concernant l'axitinib, une étude rétrospective nippone portant sur 144 patients consécutif a comparé l'efficacité et la tolérance en fonction de l'âge<75 ans (n =116) ou≥75 ans (n =28) sans rapporter de différence [59Miyake H., Harada K., Ozono S., Fujisawa M. Efficacy and safety of axitinib in elderly patients with metastatic renal cell carcinoma Med Oncol 2016 ; 33 (8) : 95, Cliquez ici pour aller à la section Références]. 3. Des oedèmes des jambes, ainsi qu’une altération de l’état général comme un épuisement et un amaigrissement, peuvent aussi alerter. Le gain de survie est très substantiel, avec une médiane qui passe de 13 à 29 mois. Gore et al. Comparative effectiveness of axitinib versus sorafenib in advanced renal cell carcinoma (AXIS): a randomised phase 3 trial Lancet 2011 ; 378 (9807) : 1931-1939 [cross-ref], Cliquez ici pour aller à la section Références, 35Motzer R.J., Escudier B., Tomczak P., Hutson T.E., Michaelson M.D., Negrier S., et al. Dovitinib versus sorafenib for third-line targeted treatment of patients with metastatic renal cell carcinoma: an open-label, randomised phase 3 trial Lancet Oncol 2014 ; 15 (3) : 286-296 [inter-ref], Cliquez ici pour aller à la section Références, 37Hutson T.E., Escudier B., Esteban E., Bjarnason G.A., Lim H.Y., Pittman K.B., et al. Evaluation des anticancéreux par voie orale dans le cancer du rein métastatique ETUDE TOPTACOS : Tolérance et Observance des Patients traités par Thérapies AntiCancéreuses per Os Lâétude TOPTACOS a pour objectif dâétudier par une approche économique, statistique et économétrique, le comportement observant ou inobservant dâun patient atteint dâun cancer ⦠Les effets indésirables de ces immunothérapies systémiques sont donc liés à l'effet cytotoxique du système immunitaire sur potentiellement tous les tissus du patient. Les critères d'acceptation ou de refus des traitements chez les patients atteints de cancers de tous types ont été étudiés dans une méta-analyse de 55 articles réalisée par Puts et al. AHRQ Publications No, Q14-0038 Rockville, MD: Agency for Healthcare Research and Quality (2014). Le ciblage de la voie du VEGF présente de manière synthétique et pragmatique les avancées obtenues en cancérologie grâce aux anti-angiogéniques. Dans la population globale, les taux de réponse objective et de réponse complète étaient respectivement de 55,2 % et 4,4% pour le groupe association versus 25,5% et 1,8% pour le groupe sunitinib. Objectif du guide Lâobjectif de ce guide est dâexpliciter la prise en charge optimale et le parcours de soins des patients adultes admis en ALD pour un cancer du parenchyme rénal. Inversement les inhibiteurs du CYP3A4 augmentent le métabolisme des inhibiteurs de tyrosines kinases et réduisent leur efficacité. Le cancer du rein nâest pas sensible à la chimiothérapie, ce traitement ne vous sera donc pas proposé. Une autre étude rétrospective italienne a évalué le sunitinib chez 185 patients plus de 70 ans [55De Giorgi U., Scarpi E., Sacco C., Aieta M., Lo Re G., Sava T., et al. Si des cellules cancéreuses se détachent et circulent via les vaisseaux lymphatiques ou sanguins et se posent dans dâautres parties du corps comme les poumons, les os, le foie ou le cerveau, etc. Les recommandations sont de ne pas faire de néphrectomie aux patients à haut risque IDMC ; de ne pas faire de néphrectomie aux patients à risque intermédiaire qui ont des métastases synchrones requérant un traitement par anti-angiogéniques ; de débuter d'emblée un traitement par sunitinib chez les patients à risque intermédiaire qui ont des métastases synchrones requérant un traitement par anti-angiogéniques ; de proposer la néphrectomie aux patients qui répondent favorablement au traitement par anti-angiogéniques ; de faire une néphrectomie aux patients ayant un bon performance status (i.e. 13 000 cancers du rein sont diagnostiqués chaque année en France. La détermination du groupe moléculaire était effectuée systématiquement dans un délai rapide, de 14 jours suivant lâacquisition du tissu. En pratique, les principaux effets des immunothérapies systémiques sont la fatigue (qui doit être distinguée d'une dysthyroïdie ou d'une insuffisance surrénalienne) les troubles cutanés (rashs, prurit), digestif (diarrhée, nausée), les dysthyroïdies, les perturbations du bilan hépatique, les troubles respiratoires, et hématologiques avec notamment les anémies, les neutropénies et les thrombocytopénies. Safety and efficacy of sunitinib for metastatic renal-cell carcinoma: an expanded-access trial Lancet Oncol 2009 ; 10 (8) : 757-763 [inter-ref], Cliquez ici pour aller à la section Références]. Tous droits réservés. Trouvé à l'intérieur â Page 135Ainsi , un patient ayant plus d'un organe atteint , des métastases hépatiques et un délai de moins d'un an entre la tumeur initiale et ... Chez l'homme , l'acide rétinoïque seul a peu d'efficacité dans le cancer du rein métastatique . Nivolumab versus everolimus in advanced renal-cell carcinoma N Engl J Med 2015 ; 373 (19) : 1803-1813 [cross-ref], Cliquez ici pour aller à la section Références]), en combinaison (nivolumab+ipilimumab [25Motzer R.J., Tannir N.M., McDermott D.F., Arén Frontera O., Melichar B., Choueiri T.K., et al. Les investigateurs n'ont pas publié à ce jour d'analyse en sous-groupe comparant le pronostic des patients en fonction de leur âge ou de comorbidités. Un cancer tout sauf rare. Le cabozantinib, a eu l’AMM européenne en mai 2018 suite à l’étude Cabosun. Il est donc légitime de questionner la reproductibilité des résultats rapportés, tant en termes d'efficacité que de tolérance, chez des patients ayant un performance status altéré : Au total, le nombre de patients avec performance status altéré inclus dans les études de phases 3 fondant les recommandations thérapeutiques est très réduit. Adjuvant sunitinib or sorafenib for high-risk, non-metastatic renal-cell carcinoma (ECOG-ACRIN E2805): a double-blind, placebo-controlled, randomised, phase 3 trial Lancet 2016 ; 387 (10032) : 2008-2016 [cross-ref], Cliquez ici pour aller à la section Références, 9Motzer R.J., Haas N.B., Donskov F., Gross-Goupil M., Varlamov S., Kopyltsov E., et al. 123 (66,5 %) ont été traités à la dose de 50mg/jour 4 semaines sur 6, et 62 (33,5 %), plus aÌ‚gés en moyenne, ont reçu une dose journalière de 37,5mg selon le meÌ‚me schéma. L'efficacité et la tolérance de ces traitements n'ont pas été rapportées comme différentes en fonction de l'âge et aucune adaptation posologique n'est recommandée de ⦠5- Motzer RJ, et al. Les anticorps monoclonaux sont éliminés comme les immunoglobulines endogènes par le catabolisme protéolytique dans l'ensemble du corps, y compris les cellules endothéliales et leur métabolisme n'est pas intrinsèquement lié à une élimination hépatique ou rénale. Ainsi, 1753 articles ont été revus et 85 ont été sélectionnés. Du sang peut aussi se mêler aux urines. Cette alternative est généralement proposée aux sujets les plus fragiles (de par leur âge, ou en raison de maladies associées) ainsi quâaux patients présentant une très petite tumeur (< 2 cm). Un traitement médicamenteux nâest prescrit quâaux patients ayant un cancer du rein métastatique. Pour ces cancers, la prise en charge associe habituellement une néphrectomie suivie dâun traitement par thérapie ciblée. Trouvé à l'intérieur â Page 163Les cancers du poumon , du sein , du rein et les mélanomes cutanés sont les plus souvent en cause . Les métastases sont des lésions bien circonscrites , en général localisées à la jonction corticosous corticale des hémisphères cérébraux ... Les études françaises de phase 4 (n =160) [60Matias M., Le Teuff G., Albiges L., Guida A., Brard C., Bacciarelo G., et al. Les principales toxicités rapportées avec les inhibiteurs de mTOR ont été les stomatites, les rashes, la fatigue et les pneumopathies interstitielles ainsi que des perturbations du métabolisme glucidique et lipidique (diabète, hypertriglycéridémie ou hypercholestérolémie). 7 minutes - le cancer le plus courant qui se développe dans le système urinaire. Le nombre de cas incidents de cancers du rein a été estimé à 15 000 en France en 2018. un intervalle libre entre le diagnostic et le traitement systémique inférieur à un an ; une hémoglobinémie inférieure à la normale. Mais aujourd'hui pour ces 3 000 à 4 000 cas par an, de nouvelles armes apparaissent. Dans un grand nombre de cas, le cancer du rein est diagnostiqué tardivement. Sorafenib tolerability in elderly patients with advanced renal cell carcinoma: results from a large pooled analysis Br J Cancer 2013 ; 108 (2) : 311-318 [cross-ref]. Toutefois, l'étude de phase 4 française AFINITE, menée entre 2010 et 2012 concernant 284 patients dont 274 traités par évérolimus n'a pas retrouvé de différence de tolérance en fonction de l'âge ou des comorbidités des patients [65Joly F., Eymard J.C., Albiges L., Nguyen T., Guillot A., Rolland F., et al. Trouvé à l'intérieur â Page 526L'analyse de groupes comparables de patients, comme c'est le cas dans l'étude CRECY mise sur pied par la Fédération des Centres anticancéreux dans le cancer du rein métastatique paraît, à cet égard, riche d'informations. Définition. Les dernières analyses confirment avec un suivi médian de 32,4 mois chez les patients des groupes à risque intermédiaire et mauvais la supériorité de l’association d’immunothérapie sur la survie globale (non atteinte vs 26,6 mois ; p< 0.0001) et le taux de réponse objective (42% vs 29% ; p=0,0001). De plus la prise en charge de leur effets indésirables peut être retardée par un manque d'information du patient quant aux signes qui doivent le faire consulter [75Riese C., Weiß B., Borges U., Beylich A., Dengler R., Hermes-Moll K., et al. Généralement, la tumeur primitive rénale ne provoque pas de symptôme. Dans le cadre du choix de la première ligne de traitement pour un patient de risque bon ou, optionnellement, intermédiaire, selon la classification IDMC, l'étude COMPARZ, comparant le Pazopanib au Sunitinib a montré une meilleure tolérance du pazopanib vs sunitinib, hormis l'effet alopéciant, une meilleure tolérance hématologique du pazopanib vs sunitinib et une meilleure tolérance biologique hépatique du sunitinib vs pazopanib [19Motzer R.J., Hutson T.E., Cella D., Reeves J., Hawkins R., Guo J., et al. Toutefois, la prévention et le traitement précoce des effets secondaires des traitements doivent être renforcés chez les patients âgés. Avelumab plus axitinib versus sunitinib for advanced renal-cell carcinoma N Engl J Med 2019 ; 380 (12) : 1103-1115 [cross-ref], Cliquez ici pour aller à la section Références] dans le traitement du cancer du rein ont permis des recommandations d'utilisation [6Bensalah K., Albiges L., Bernhard J.C., Bigot P., Bodin T., Boissier R., et al. Tableau 1. Il représente 3 % des cancers de lâadulte et est au 3 ... Ces nouvelles molécules représentent une révolution dans la prise en charge des cancers du rein métastatiques. Trouvé à l'intérieur â Page 130... cliniques et un fonde- ment rationnel biologique (activité angiogénique accrue via les altérations de VHL dans les carcinomes à cellules claires), une phase II a été menée aux Ãtats-Unis dans le cancer du rein métastatique [48]. L'incidence du cancer du rein en France est estimée à 10 000 nouveaux cas par an. Outre les causes néoplasiques d'hypercalcémie, liées à l'ostéolyse directe par les métastases ou par la sécrétion de facteurs circulant PTH-like [, l'immobilisation, l'alitement prolongé provoquant une résorption osseuse [, l'hyperparathyroïdie, notamment tertiaire liée à l'insuffisance rénale chronique. Accueil » Actualités médicales » Une étude sur le cancer du rein fournit de nouvelles informations sur lâinvasion tumorale et la compétence métastatique. La multiplication des symptômes participe à la dégradation de la qualité de vie et des perspectives thérapeutiques. Le taux de réponse complète était également plus important dans le groupe traité par association pembrolizumab-axitinib (5,8 vs 1,9%). Consécutivement à la publication de ces études, les recommandations de l'Association Européenne d'Urologie (EAU) ont été modifiées en tenant compte de toutes les options thérapeutiques [84Bex A., Albiges L., Ljungberg B., Bensalah K., Dabestani S., Giles R.H., et al. Avec les inhibiteurs de points de contrôle immunitaire, lâimmunothérapie est en train de redevenir le standard de première ligne dans le cancer du rein métastatique, , reléguant les inhibiteurs de tyrosine kinase (TKI) anti-angiogéniques en deuxième ligne. Une nouvelle stratégie thérapeutique dans le cancer du rein métastatique, pourtant bien plus efficace et aux effets secondaires moindres, nâest toujours pas accessible en France alors quâelle a été approuvée par les autorités de santé européennes. Les auteurs ont rapporté un risque équivalent de complications chirurgicales entre une néphrectomie d'emblée et une néphrectomie après traitement par anti-angiogéniques. Cancer du rein métastatique minougrens 1 billets Bonjour , mon mari est atteint depuis 18 mois d'un cancer du rein avec de nombreuses métastases , osseuse pulmonaires hépatiques et cérébrales , l'image d'un orage dans un grand ciel bleu .. Seule une douleur au bras au début , après opération , rayons et ce qui s'ensuit il a bénéficié de deux traitements déjà qui semblent ⦠Cliquez ici pour aller à la section Références]. Présentée à lâASCO à Chicago dimanche 3 juin, par son principal investigateur, le Pr Arnaud Méjean, lâétude CARMENA pourrait bien ⦠Toutefois, 7 études portant sur différents types de cancer n'ont pas rapporté de différences en fonction de l'âge et celle rapportant des différences concernaient spécifiquement des patients atteints de cancers de la prostate et du sein. Définition. L'ensemble de ces données constituent une preuve de faible niveau de l'absence d'intolérance des inhibiteurs de mTOR en rapport avec l'âge des patients.