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Le Président roumain affirme son attachement à la libre circulation

« L'élimination des contrôles aux frontières maritimes et aériennes doit être suivie naturellement dans les plus brefs délais de l’élimination des contrôles aux frontières terrestres ». Après le président bulgare en novembre dernier, le président roumain Klaus Iohannis était le 13e dirigeant européen en exercice à débattre sur l’avenir de l’Europe au Parlement européen. Il a profité de son intervention pour souligner son attachement au principe de libre circulation européen et son désir de voir la Roumanie pleinement intégrée à l'espace Schengen. À compter du 31 mars 2024, il n’y aura plus de contrôle aux frontières aériennes et maritimes roumaines. Pour autant, la Roumanie attend toujours la levée des contrôles aux frontières terrestres. 

La majorité des eurodéputés a soutenu cette déclaration et salué l’engagement de la Roumanie pour l'Union européenne, notamment envers l'Ukraine. Pays frontalier, la Roumanie accueille plus de 144 000 réfugiés ukrainiens.

Angèle Bataller

14 h 47 : C’est la fin de ce live. Pour plus d’infos sur la vie de cette figure politique, la nécrologie de Robert Badinter est disponible ici.

Merci de nous avoir suivis, à bientôt sur Cuej.info.

Célestin de Séguier et Jean Lebreton

Édité par Baptiste Huguet

Une nécropole et un mémorial ont été érigés au niveau de l'ancien camp des gardiens SS. © Célestin De Séguier

14 h 35 : Première réaction de Marine Le Pen sur son compte X.

L’odeur des corps calcinés par le four crématoire se répandait parfois jusque dans le fond de la vallée. © Célestin De Séguier

Avec piscine et jardin potager, les résidents de la villa Erhet bénéficiaient d’un cadre (presque) idyllique. © Célestin De Séguier

La Commission européenne, les ministres européens et la Parlement ont légiféré sur une nouvelle directive pour les violences faites aux femmes. © Léa Bouquet

14 h 23 : L’extrême-droite ne réagit que très sobrement à la mort de Robert Badinter

Pendant longtemps, les relations entre l’ex garde des Sceaux et l’extrême-droite étaient houleuses. L’abolition de la peine de mort était vu comme du laxisme par ses détracteurs. Encore aujourd’hui, l’abolition ne convainc pas les militants frontistes. Selon un sondage Ipsos d’octobre 2023, 81 % des sympathisans du Rassemblement National serait pour le rétablissement de la peine de mort.

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